lundi 30 novembre 2015

Il y aura des matins


Le salon des refusés

Vous vous souvenez ?

Cette magnifique oeuvre "CrucifixTion" ( avec un "T") a été débusquée et retirée des collections de Oiron. On s'en moque ! Nous allons créer cet été le salon des refusés, ici en Thouarsais.
On y retrouvera bien entendu "CrucifixTion"

mais aussi cette oeuvre splendide signée "l'oeil de l'Ours"

Et bien d'autres merveilles ...

Chaque pièce sera mise en vente entre 1 et 20 centimes de franc. Oui de franc... Vous pouvez dès maintenant explorer vos fonds de tiroirs.
Nous sommes convaincus que l'art doit être accessible à tous ! Et surtout à ceux qui ont des tiroirs !



bientôt les élections




Projets de bulletins, découpez sur les bords







dimanche 29 novembre 2015

Les imbéciles



La race des chauvins, des porteurs de cocardes

Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part

Quand sonne le tocsin sur leur bonheur précaire

Contre les étrangers tous plus ou moins barbares

Mon Dieu qu'il ferait bon sur la terre des hommes

Si on y rencontrait cette race incongrue

Cette race importune et qui partout foisonne

La race des gens du terroir des gens du cru

Que la vie serait belle en toutes circonstances

Si vous n'aviez tiré du néant tous ces jobards


Barricades

Barricades : remparts composés de barriques.
7
dessin de Jacques Tardi ( qui a refusé la légion d'honneur, salut camarade !)

Rien à voir, mais j'y pense souvent. Marius sur la barricade républicaine (dans les Misérables) crie: « vive la mort ». Et bizarrement c'est également ce que criaient les escadrons franquistes « viva la muerte ».
Et maintenant les Djihadistes !


vendredi 27 novembre 2015

Le vin nature sans masque (à gaz)



Dans son hors-série de novembre 2015 la Revue des Vins de France interroge Stéphane Derenoncourt "consultant de nombreuses propriétés (...) fin connaisseur de Bordeaux."

Il n'aime pas les vins nature et considère même que " produire des vins nature aujourd'hui, c'est renier cinq mille ans de civilisation et de connaissance. "

Au bout de "cinq mille ans de civilisation et de connaissance" voilà où nous en sommes





              


Il faut désormais être habillé en cosmonaute pour aller dans les vignes "conventionnelles". On imagine ce qui arrive ensuite dans les bouteilles.

                               


Alors, au diable cette folle civilisation et vive le vin nature !

Le vin ce n'est pas de la chimie, c'est de l'alchimie.

Le vin n'est pas un produit, c'est un mystèr
e
.

Peut-être


L'aphorisme de la semaine

J'ai l'impression de voir le monde 
à travers des yeux qui seraient les miens !
(Balthazar Forcalquier)

mardi 24 novembre 2015

Choucroute partie

C'est bientôt avec l'Amap de Thouars

Les temps sont durs

Rue Saint-Médard à Thouars la municipalité tente de faire revenir les commerçants. Mais on se demande si tout cela est bien raisonnable.

Voici une vitrine qui présente des ceps de vigne !
Je veux bien croire qu'il y a un petit marché du cep de vigne, mais de là à faire vivre un marchand et sa famille !

Il y a quelque temps on a vu cela aussi dans la même rue :



Un commerçant qui vend des bouche-bouteilles munies de capsules ! Moi je veux bien, mais quand même il y en a qui vont droit au déficit.


lundi 23 novembre 2015

Voilà qui est faire oeuvre utile, encore merci au Sémaphore


Pourim



Je serais volontiers juif s'il n'était pas question pour moi d'un dieu créateur, je veux dire créateur du ciel et de la terre.

Si j'étais juif je fêterais Pourim, ( la fête des hasards et des masques), car je sais que rien ne va sans le hasard et la dissimulation.

Pourim : dans les maisons d'étude le professeur laisse sa place au plus médiocre. Car, de lui aussi, on peut apprendre. Quel belle pratique.

Pourim : on doit boire jusqu'à tomber par terre d'ivresse. On doit perdre le sens commun et devenir, je crois, un homme sans passé ni avenir. Un homme libre en somme.



Sénèque dit : « on ne découvrirait rien si on se contentait de découvertes déjà faites. D'ailleurs à suivre un autre on ne trouve rien. Je dirais même plus on ne cherche rien. » Belle occasion que d'explorer l'inconnu que de perdre le sens commun.


Nous parlerons joyeusement de la mort un autre jour.


dimanche 22 novembre 2015

Il est temps d'aller vers les neiges


Dictionnaire multi langues





J'ai pensé à un dictionnaire multi langues. Voilà comment cela fonctionne.

Toi = 1

moi = 2

aime = 3

Passé = &

Futur = ++

etc...

Duhomard = 6.235




alors cela donne : « je t'aime » = 2/1/3 ( moi aime toi)

ou bien « je t'aimais » = & 2/1/3 (moi aime toi mais au passé)

ou bien « je t'aimerai » = ++ 2/1/3 (moi aime toi dans le futur)

ou bien « j'aime le Duhomard » = 2/3/6.235

C'est le principe, que tu sois Papou ou Inuit tu prends ton dico, tu décodes, tu réponds.

Qu'en penses-tu ? ( 1/22/87 ? = toi/pense/quoi?)
Evidemment, ce n'est pas facile à transporter .

samedi 21 novembre 2015

Mahmoud ami

Merci au Sémaphore

Il est paisible, moi aussi

Il est paisible, moi aussi.
Il sirote un thé citron
je bois un café,
c'est ce qui nous distingue.
Comme moi, il est vêtu d'une chemise rayée
trop grande.
Comme lui, je parcours les journaux du soir.
Il ne me surprend pas quand je l'observe de biais.
Je ne le surprends pas quand il m'observe de biais.
Il est paisible, moi aussi.
Il parle au serveur.
Je parle au serveur...
Un chat noir passe entre nous.
Je caresse la fourrure de sa nuit,
il caresse la fourrure de sa nuit...
Je ne lui dis pas : Le ciel est limpide aujourd'hui,
plus bleu.
Il ne me dit pas : Le ciel est limpide aujourd'hui.
Il est vu et il voit.
Je suis vu et je vois.
Je déplace la jambe gauche,
il déplace la droite.
Je fredonne une chanson,
il fredonne un air proche.
Je me dis :
Est-il le miroir dans lequel je me vois ?

Puis je cherche son regard,
mais il n'est plus là...
Je quitte précipitamment le café,
et je me dis : C'est peut-être un assassin
ou peut-être un passant qui m'a pris
pour un assassin.

Il a peur, moi aussi.

La phrase romanesque

Quoiqu'on dise...
L'attraction terrestre c'est quand même mieux
pour uriner
(Balthazar Forcalquier)

mercredi 18 novembre 2015

Marcel Kanche le célèbre inconnu


Le livre qu'on peut ne pas lire


Maurice Leblanc créateur d'Arsène Lupin est aussi l'auteur de cet ouvrage qui ne mange pas de pain, une bluette dont on peut se passer.
P. 137 il écrit : " Balthazar ce n'est pas le nom de tout le monde" ce qui est vrai
Mais P.17 il avait écrit " Balthazar ne buvait que de l'eau"...
Il n'y a que dans un roman qu'on peut lire ça !

mardi 17 novembre 2015

La bio de Marcel Kanche

 Une bio qui ressemble à la mienne comme deux gouttes d'eau

dieu et la poste

En arrivant à Bressuire en venant de Thouars...
L'église et la Poste, le goupillon et le timbre.
Je me demande si une lettre affranchie pour le ciel à tarif économique arrive réellement plus tard ?
Je me demande si dieu sait lire ?
Je me demande ce qu'il aime comme carte postale et s'il collectionne les timbres ?
Un jour je lui ai envoyé une facture...
Je me demande pourquoi il ne répond jamais ?



Moi aussi je monte dans les arbres


dimanche 15 novembre 2015

Mozart, la Marseillaise et des "prouts"!!!




Le concerto n° 25 pour piano de Mozart, après 1 minute 30, ô surprise, fait sonner les accords de la Marseillaise et le thème revient ensuite. Mais ce concerto a été composé en 1786, alors que l'hymne le fut plus tard en 1792... Étrange mystère, sauf à penser que le compositeur (Rouget de Lisle a seulement écrit les paroles)  est Ignace Pleyel (créateur de la salle du même nom) Autrichien installé à Strasbourg qui connut bien Mozart et qui, par hommage, lui piqua ces quelques mesures. A l'époque piquer une idée était rendre hommage, ô la belle époque.
Bigre ! L'hymne national serait un truc de boches ! Qu'en pense le soldat inconnu ?

 Mozart qui écrit à sa cousine aimée ( avec laquelle il joua à des jeux coquins) cette étrange confidence :

« Je me rassieds, je recommence à écrire et voilà que j'entends quelque chose. Je me relève, et je n'entends plus qu'un faible bruit. Je sens alors une odeur de brûlé, partout où je vais ça pue. Si je vais à la fenêtre l'odeur se perd, si je rentre la tête dans la pièce l'odeur reprend. A la fin maman me dit « qu'est-ce que tu paries que tu en as laissé échapper une ». «Je ne crois pas maman ». « Si, si, certainement. » Je veux en avoir le cœur net, je fourre mon doigt dans mon cul puis son mon nez : la maman avait raison ! »

La scatologie était joyeusement servie au XVIIIe, dans les familles de la petite bourgeoisie, en revanche il était absolument tabou de parler de sexe.





Les gars de la gégéne !


samedi 14 novembre 2015

mercredi 11 novembre 2015

Moi ce que j'en dis ...

Je n'ai rien contre les buveurs de bière et de soda...


Mais quand même...

On ne verrait pas cela le long des routes avec des bouteilles de Nicolas Reau




mardi 10 novembre 2015

Vézelay comme vous ne l'avez jamais vue (9)



Voici une visite guidée de Vézelay, mais une visite insolite comme on n'en fait jamais, la vérité est trop brutale.


Tout le monde connaît : la femme mange la pomme interdite, etc, etc...
Mais regardez bien, ce n'est pas une pomme, c'est une grappe de raisin que lui offre le serpent. Et ce n'est pas une feuille de vigne dont elle se recouvre le sexe, mais d'un soleil.
Voici une oeuvre hautement spirituelle. Le serpent n'est pas l'animal fourbe que l'on veut nous faire croire, c'est celui qui apporte la connaissance, le vin à venir. Il  dit à la femme : n'aie pas peur, et profite car ce monde est une illusion, une sorte d'ivresse. Evidemment, à côté, Adam est à côté de la plaque, il ne comprend rien, telle est la destinée des hommes.


lundi 9 novembre 2015

Attention ce qui va suivre est ATROCE !

D'abord voici la couverture du livre que Daniel Fouchereau vient de publier chez Geste Editions, c'est  une somme sur cet apéritif essentiel à la bonne marche des Thouarsais et de tous ceux que charme la fantaisie.

Voici la couverture de cet indispensable ouvrage, je la mets d'abord parce que celle qui suit est insupportable. Éloignez les enfants, les âmes sensibles et surtout, surtout que Daniel Fouchereau n'aille pas voir plus bas s'il n'y a pas dans son proche environnement un défibrillateur.

Le Duhomard apéritif de Thouars

Et voici l'abominable document 





dimanche 8 novembre 2015

Vézelay comme vous ne l'avez jamais vue (8)

Voici une visite guidée de Vézelay, mais une visite insolite comme on n'en fait jamais, la vérité est trop brutale.



Voici, nous dit-on, la tentation de Saint-Benoit. Le demon lui présente une jolie femme. Hou ! Comme c'est osé ! Pour apaiser son sang Benoit alors va se jeter nu dans les orties et les ronces, et renonce ainsi à la chair.



Il faut vous dire la vérité. Le monstre qu'on voit là au milieu c'est un gros patron, on le reconnaît bien, il est laid et il a mauvaise haleine, d'ailleurs en face le gars du syndicat mais la main devant son nez.
Voici donc la scène : un infâme patron veut enlever une belle ouvrière ( on devine pourquoi ), elle recule et pleure,  alors il la tient avec ses deux mains pour l'emmener. Heureusement sur sa route se dresse le syndicaliste avec le code du travail dans la main. Lequel code spécifie en son article B 12/ 4571 : " le droit de cuissage est aboli".
Encore une fois rappelons que les chapiteaux des églises - et ici à Vézelay ils sont magnifiques - étaient destinés à éduquer le peuple qui n'avait pas accès aux textes.
On me demandera quel est le syndicat majoritaire à l'époque ? Je l'ignore hélas, mais sûrement pas la CFTC ( trop catho) ni la CFDT ( trop molle).


samedi 7 novembre 2015

Blaise mon pote (encore)


Tout commence en 1907

http://www.rts.ch/archives/radio/divers/emission-sans-nom/3365651-transe-poetique.html


Les Pâques

Les Pâques à New York



Seigneur, je suis dans le quartier des bons voleurs,
Des vagabonds, des va-nu-pieds, des recéleurs.
Je pense aux deux larrons qui étaient avec vous à la Potence,
Je sais que vous daignez sourire à leur malchance.
Seigneur, l’un voudrait une corde avec un noeud au bout,
Mais ça n’est pas gratis, la corde, ça coûte vingt sous.
Il raisonnait comme un philosophe, ce vieux bandit.
Je lui ai donné de l’opium pour qu’il aille plus vite en paradis.
Je pense aussi aux musiciens des rues,
Au violoniste aveugle, au manchot qui tourne l’orgue de Barbarie,
A la chanteuse au chapeau de paille avec des roses de papier ;
Je sais que ce sont eux qui chantent durant l’éternité.
Seigneur, faites-leur l’aumône, autre que de la lueur des becs de gaz,
Seigneur, faites-leur l’aumône de gros sous ici-bas.
Seigneur, quand vous mourûtes, le rideau se fendit,
Ce qu’on vit derrière, personne ne l’a dit.
La rue est dans la nuit comme une déchirure
Pleine d’or et de sang, de feu et d’épluchures.
Ceux que vous avez chassé du temple avec votre fouet,
Flagellent les passants d’une poignée de méfaits.
L’Etoile qui disparut alors du tabernacle,
Brûle sur les murs dans la lumière crue des spectacles.
Seigneur, la Banque illuminée est comme un coffre-fort,
Où s’est coagulé le Sang de votre mort.
Les rues se font désertes et deviennent plus noires.
Je chancelle comme un homme ivre sur les trottoirs.
J’ai peur des grands pans d’ombre que les maisons projettent.
j’ai peur. Quelqu’un me suit. Je n’ose tourner la tête.
Un pas clopin-clopant saute de plus en plus près.
J’ai peur. J’ai le vertige. Et je m’arrête exprès.
Un effroyable drôle m’a jeté un regard
Aigu, puis a passé, mauvais comme un poignard.
Seigneur, rien n’a changé depuis que vous n’êtes plus Roi.

Blaise Cendrars

La phrase romanesque

A la fin de ses rêves, 
elle voit passer le générique.
(Balthazar Forcalquier)


mercredi 4 novembre 2015

Sur la rocade de Parthenay... un mystère


Je m'interroge... Voilà un graffeur qui a pris beaucoup de temps et dépensé une belle quantité de peinture pour écrire cela... Un abyssal manque d'inspiration l'a conduit à cette proclamation : "couille molle". Je l'imagine venant au milieu de la nuit avec son équipement et se trouvant soudain désarmé face au mur vide. Le vertige de la paroi muette l'a fait chuter
. "Qu'est-ce que je vais écrire ?" s'est-il demandé... et creusant en vain sa cervelle creuse il s'est dit : "Bof... Couille molle..."
Il aurait pu envoyer un message poétique ou subversif ... Il a préféré "couille molle"... C'est bien exécuté, mais c'est mou !


mardi 3 novembre 2015

Jacques Bonnaffé bien sûr


Cruelle destinée d'une maison avalée par sa voisine

C'est la triste histoire d'une maison qui a été peu à peu mangée par sa voisine. Avalée, digérée lentement mais sûrement, la victime a presque disparu. Il n'en reste plus que ceci...un petit morceau de toit... Et, encore, pas pour longtemps

Qui racontera l'histoire de cette humble bâtisse qui abrita tant de joie, d'amour et certainement aussi de petits drames domestiques ?
Personne ! 
Avalée la maison n'a plus d'histoire. Quelle tristesse !

lundi 2 novembre 2015

Ma pierre à l'immense édifice vide

Dans face book on croise mille sujets sans aucun intérêt. Je me suis dit que, moi aussi, je veux participer à cette vacuité considérable...
Alors : l'autre jour un fauteuil m'est tombé sur le pied et voilà le résultat :

C'est mon pied droit.

Sinon j'ai un souvenir qui lui, également, n'a aucun intérêt.
Au régiment (3e RPima de Carcassonne)
 on chantait en allant à la cantine cette belle chanson que vous pourrez chanter aussi puisqu'il y a les paroles.


"Ah oui " dit :

le millième du mètre c'est le millimètre
le millième du gramme c'est le milligramme
le millième du lire c'est le millilitre
Et...
... le millième de l'intelligence :
c'est...
Le MILITAIRE


dimanche 1 novembre 2015

Le voyage continue

Après l'Angleterre, l'Espagne, Berlin,  et même Thenezay ( pas encore Bressuire), les petits livres libres continuent leur voyage, les voilà en Crête.

ça, oui, ça me fait rire

"Il faut vous dire qu'à la suite d'une chute de cheval, j'ai perdu tout sens moral"
(Alphonse Allais)

Claquer le beignet (1) : PARFILER

Nous nous coltinons parfois des petits pédants qui jouent les outragés : " quooooi tu ne sais pas ce que c'est ? Mais qu'as-tu appriiiiis à l'écoooole ?"
Il a un moyen de leur claquer le beignet à ces petits morveux.
Il suffit de mémoriser quelques mots quasi-inconnus et de leur demander : "et toi ? tu sais ce que veut dire.."
Par exemple le verbe : parfiler.
Voilà une occupation qui fit fureur dans les salons du XVIII e siècle et les frères Goncourt y consacrent plusieurs pages dans leur ouvrage sur les femmes de ce temps. Pour se désennuyer les dames parfilaient. Les hommes aussi parfois.
A. − Défaire fil à fil un tissu précieux pour en récupérer l'or ou l'argent qui recouvre les fils. Synon. effiler.Deux bras arrondis par l'amour étaient nuds jusqu'au coude, et des mains d'une blancheur éblouissante parfilaient des fils d'or(Sénac de Meilhan, Émigré, 1797, p.1634).Sous Louis XVI, les femmes du plus haut rang parfilaient en compagnie (A. France, Pt Pierre, 1918, p.142):
1. ... le duc (...) tuait le temps à parfiler du galon d'or ou à faire des découpages qu'il tirait ensuite au sort, pêle-mêle. Bourges, Crépusc. dieux, 1884, p.36.
♦ Empl. abs. Bien travaillé, tisseuse! Nos mères de leurs doigts oisifs s'amusaient à parfiler, décousant broderies et galons, détachant chaque fil un par un. Ce qu'elles ont défait, vous le refaites (Claudel, Otage, 1911, i, 1, p.220).





Quoique vous fassiez la Révolution est en marche !

Alors... Voilà...  
(  dédié à ceux que la Révolution fait cligner des yeux )


Cette chanson, c'est celle de la révolution des oeillets,
celle qui déclencha la révolution portugaise le 25 avril 1974
voulue par des capitaines. Ils laissèrent ensuite la République s'installer. Salut camarades !



A débattre

Ce qui est enseigné ne mérite pas d'être appris.
Voyager, voilà la solution
(B.F)